cécile poussin

instruments: voix, flûte traversière, mélodica, accordéon,orgue bontempi, piano-jouet, métallophone

parcours : c’est à l’école maternelle qu’elle découvre sa vocation, un jour où des musiciens viennent présenter leurs instruments ; c’est décidé, elle jouera de la flûte traversière. dix ans de cette formation classique n’ont pas fermé ses oreilles à d’autres influences : elle s’attache aux vinyles paternels qui tournent en boucle à la maison (Boby Lapointe, Brel, Brassens, Ferrat…) et découvre, à l’adolescence, le rock progressif de Jethro Tull, King Crimson et Genesis. à 20 ans, au retour d’une année d’étude en Allemagne, elle collabore, en tant que musicienne, à plusieurs créations théâtrales, au théâtre universitaire de Dijon et au sein de la compagnie Pitoprakta à Chalon sur Saône. l’été 1997, un simple week-end dans le Morvan bouleverse son parcours instrumental : elle y découvre la musique traditionnelle, Perrone, Pignol, Milleret, Maës… c’est décidé, elle jouera de l’accordéon diatonique. elle s’installe à Lyon où elle s’essaie encore à divers instruments (violoncelle, accordéon chromatique) et prend l’habitude de bricoler sur des pianos jouets, métallophones, mélodicas, dans le groupe " le Bruit des touches ", créé avec Denis Rivet et dans lequel Stéphane Emptaz trouve rapidement sa place. elle écrit, compose, chante et joue de l’accordéon. Cette aventure dure trois ans et donne naissance au King Kong Vahiné. C’est son troisième virage musical, plus électrique, qu’elle avait déjà amorcé en écoutant Dominique A, PJ Harvey, Tom Waits.

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